Sur ABK Radio, Calibri Calibro explique pourquoi les ambazoniens ont pris part à la marche de Paris

• Abdoulaye Thiam alias « Calibri Calibro » est l’invité de la radio ABK

• Il est revenu à la manifestation à Paris le 3 juillet, où il a vu la présence de l’Ambazon.

• Selon le commandant en chef de la Brigade Anti-Sardine (BAS), les habitants d’Ambazon ont participé à des manifestations exigeant la fin de la guerre dans le nord-ouest et le sud-ouest.

Jeudi 7 juillet 2021, sur la radio Abk à Douala, Calibri Calibro était invité à dire : « Nous espérons que la guerre contre NOSO est terminée. » Abdoulaye Thiam, « Commandant en chef » de la Brigade anti-sardine ( BAS), alias « Calibri Calibro » Cela a répondu à l’inquiétude du journaliste. Il a voulu connaître la présence de personnes se réclamant d’Ambazonie lors du rassemblement organisé à Paris le 3 juillet. Selon Calibri Calibro, Paul Biya et son gouvernement. Impliqué dans une bataille planifiée et planifiée par le gouvernement camerounais. Autant que je sache, la dictature de Paul Biya est le seul gouvernement responsable. Ces camerounais expriment leur ennui d’une autre manière. S’il y a un dialogue vraiment inclusif, je pense que nous n’en arriverons pas là. La faute incombe au gouvernement camerounais. Nous ne pouvons empêcher personne de montrer son ennui. Peu importe s’il vient d’Anbazon, parle anglais ou autre », a-t-il déclaré.

Montrez fièrement avec les habitants d’Ambathon

Le « Commandant en chef » de la Brigade Anti Sardinards (BAS) Abdoulaye Thiam alias « Calibri Calibro » n’a pas caché sa fierté de manifester avec les Ambazoniens. « Cela ne nous pose aucun problème. Nous sommes avant tout des Camerounais. Je tiens à vous rappeler qu’il n’y a actuellement aucune république appelée Ambazonie. Même si nous voulons que le Cameroun soit fédéré. Pour le moment, nous sommes parmi les frères camerounais. Nous n’avons aucun droit. d’interdire le Cameroun. Peuples ou citoyens du monde, même s’il y a une république qui s’appelle Ambazonie, nous nous mêlerons avec ces gens pleins d’amour-parce qu’ils y ont été martyrisés et violés », a-t-il frappé. Avant d’ajouter : « Nous ne pouvons pas prétendre demander à nos frères Ambazon d’arrêter leur lutte », il a affirmé que si le gouvernement ne rétablit pas un meilleur sentiment, il est prêt à soutenir le projet séparatiste.