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Stupeur au Cameroun, un vieillard pris en plein viol d’une fille de trois ans tabassé par la population voici les détails

• Les jours passent et les viols se succèdent

• Encore une personne âgée et une enfant

• Cette fois, la différence d’âge est abyssale

Le viol est défini comme un acte par lequel une personne force une autre à avoir des relations sexuelles avec elle, par violence. C’est une situation dans laquelle se retrouvent de plus en plus de petites filles vulnérables au Cameroun, dont les personnes âgées abusent sans aucune pitié ni décence.

Natchingou est un groupement de l’Ouest Cameroun, en pays bamiléké. Situé dans le département du ndé, le village est à dix-sept (17) kilomètres de Bangangté.

Là-bas, un grand-père âgé de soixante-quinze (75) ans a été arrêté alors qu’il violait une gamine qui ne faisait même pas le quart du quart de son âge.

Comme raconté par un lanceur d’alerte camerounais informé du crime, le grand-père de de soixante-quinze (75) ans a été tabassé ce soir (samedi le 13 août 2022, ndlr) après avoir violé une enfant ».

La victime n’a que trois (03) ans : « Stupeur et incompréhension au village Batchingou où un ancêtre a pris congé de sa case, pas pour manger la chèvre des coutumes mais, arracher de force le piment d’une enfant de trois (03) ans ».

La source connue pour son humour dans le compte de ces histoires funestes, a ajouté que « ce pittoresque sorcier vieillard, lui à qui la science prédisait une impossibilité de son appareil géniteur de germer quoi que ce soit à son âge, a dévié tous les pronostics de la nature pour s’accaparer à l’aide de ses raides muscles, la virginité d’une gamine de trois (03) ans ».

Il a été battu « comme un totem par une population furieuse ». L’informateur précise que « le doyen des violeurs de Batchingou est resté muet, incapable d’énoncer le moindre regret. Ce sont des coups de lattes sur sa paire de billes rouillées qui auront finalement raison de son assassin silence ».

« « C’est la malédiction des coutumes qui me suit » », fini par laisser entendre le vieillard. Un aveu teinté de superstitions qui poussa encore ses boxeurs à lui infliger des uppercuts supplémentaires. Trois (03) ans et non douze (12) ans. Inutile de vous dire que les grands-mères du village lui ont demandé pourquoi il les boycotte pour l’enfant », narre N’zui Manto.

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