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S3xtape : grosse désillusion pour Malicka, Voici enfin le verdict final dans l’affaire de s3xtape dans laquelle est impliqué le célèbre journaliste sportif Camus Mimb et son ami Wilfried Eteki.

• Malicka espérait 380 millions

• Elle va se retrouver avec 20 millions

• La justice vient de trancher

 

 

 

Ce jeudi, la justice camerounaise a rendu le verdict dans l’affaire de s3xtape dans laquelle est impliqué le célèbre journaliste sportif Camus Mimb et son ami Wilfried Eteki. Ils étaient accusés diffusion des vidéos et photos à caractères s3xuelles de la jeune Malicka. La justice a tranché mais, les attentes de la victime ne sont pas non plus comblées.

Les avocats de Malicka réclamaient des dommages et intérêts allant pour un montant total de 380 millions Fcfa.
Ces 380 millions sont répartis comme suite:
– 100 millions Fcfa de préjudice moral;
– 150 millions Fcfa droit à l’image;
– 100 millions Fcfa pour perte d’une chance;
– 30 000 de frais de dossier.
Seulement, le verdict est tout autre. Martin Camus Mimb condamné à 4 mois d’emprisonnement ferme et Wilfried ETEKI condamné à 9 mois de prison et 20 millions 300 F Cfa d’amendes. Ainsi de 380 millions, elle et ses avocats vont se retrouver à 20 millions. Rappelons que les avocats de Malicka ont travaillé sans honoraires sur l’affaire.


Grand déballage lors du procès Camus Mimb : voici comment la vidéo de la s3xtape s’est retrouvée dehors

L’affaire de s3xtape dans laquelle est impliquée le célèbre journaliste Martin Camus Mimb et son ami Wilfrid Eteki (toujours en prison), suit son cours. Devant la barre ce lundi 31 janvier 2022, Wilfrid Eteki a levé un coin de voile sur le Modus operandi à travers laquelle la vidéo s’est retrouvée sur les réseaux sociaux.

Tout est parti de la création de groupe Whatsapp. « C’est ce qui ressort des réponses du prévenu, principal accusé dans cette affaire de mœurs. D’après ses déclarations, il a envoyé « par inadvertance » les images de la nudité de la jeune femme à son ami, le nommé Yves Bassong vivant en Belgique. Mais selon lui, les vidéos étaient uniquement destinées au groupe Whatsapp crée le jour même de l’incident pour le partage de leurs ébats s3xuels et des vidéos privées de Malicka, Martin Camus Mimb et lui-même », rapporte griote.tv qui cite le prévenu à la barre « Lorsqu’on a fini d’entretenir les rapports s3xuels, je voulais envoyer les images que j’ai filmées dans le groupe mais suite à la sensibilité du clavier de mon téléphone, les vidéos se sont retrouvées chez Yves Bassong », a déclare-t-il au tribunal, et rapporté par griote.tv.

« Yves Bassong et Mya vivant en Belgique, sont les deux personnes citées par le prévenu. Il les suspectait dès le premier jour, d’être à l’origine de cette publication. Le premier a reçu les vidéos envoyées par Wilfrid et l’autre est une fille, membre de l’un des groupes whatsapp à caractère ****** créé par Etek », souligne le confrère.

« Trio jack » est le fameux nom donné au groupe whatsapp dont les seuls membres sont Malicka Bayemi, ainsi que les prévenus, le journaliste sportif Martin Camus Mimb et Wilfrid Eteki. Ce groupe est créé le 16 juin 2021, jour de l’incident. L’idée est venue alors que Martin demandait à intégrer un précèdent de 4 membres dans lequel se trouvaient déjà Malicka, 3 autres filles et Wilfrid en est l’administrateur. Le but de ces groupes est le partage des ébats sexuels, l’organisation des rencontres sexuelles à trois ou entre filles, a fait savoir le confrère de griote.tv.

« Trop jack D est le premier groupe de 4 que Martin voulait intégrer mais Mr Eteki a refusé en proposant de créer un autre. C’est ainsi qu’il a crée et envoyé les vidéos après l’acte ****** que j’ai eu avec lui et Mr Mimb », relatait Malicka à l’audience du 24 janvier dernier.

Pour la publication des images dans le nouveau groupe créé , Wilfrid tente d’incriminer Malicka et déclare que c’était plutôt à la demande de cette dernière « qui aime regarder ses ébats sexuels », dit-il.

« c’est elle qui propose de créer ce groupe et me demande d’envoyer les vidéos dans le groupe », a relaté Wilfrid. C’est donc au moment de faire le partage dans le trio jack que par « inadvertence« , les images se retrouvent chez Yves Bassong, si l’on s’en tient aux propos du prévenu.
Cette affaire est loin de connaître son épilogue.

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