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Rose Croix: Decouvrez le jour où Paul Biya a été ‘lavé’ par un maître rosicrucien à Etoudi

Tous ceux qui ont lu le livre de EBALE ANGOUNOU Daniel St Yves « Sang pour sang », ont sans doute lu la partie où l’auteur qui est un ancien ami du chef de l’Etat révèle qu’il a été initié à la Rose Croix. La rédaction de CamerounWeb vous propose quelques pages très parlantes de ce livre.


« Quelles connaissances avez-vous des Maisons Secrètes de la Rose-Croix et des initiations y afférentes ?Telle est la question posée par le grand maître de l’AMORC à Paul Biya à l’issue des travaux spirituels par lui réalisés au Palais. Il eût été aberrant que ce grand chef de l’ordre de la Rose-croix ne s’intéressât pas particulièrement à son hôte dans le cadre de ce qu’ils avaient en commun, c’est-à-dire la confrérie. Et dans le cas d’espèce, il s’agit de rapports entre maître et élève.

Le Président Biya n’a encore subi aucune initiation préalable, liée au contexte exprimé par son allocutaire. Celui-ci va alors le soumettre à des initiations spécifiques. La rencontre avec un grand maître a quelque chose de particulier, en ceci qu’elle laisse toujours des marques indélébiles. Ils ont des gestes, des paroles, qui ne sont pas du commun.

L’éminent Rosicrucien, après avoir « lavé » Paul Biya, l’engage à un rapport homosexuel. Ceux qui sont membres des sociétés initiatiques s’y prêtent selon une technique propre aux initiations par eux reçues.

Dans ces milieux, on prétend que Jésus Christ était lui-même passé par là, pour cause qu’il était un homme, et qu’en tant que tel, il est passé par les écoles des hommes. Ils prétendent que Jésus a lui-même été initié à la magie sexuelle, dans un temple égyptien par une prêtresse dudit temple. Et même, ils soutiennent que Jésus Christ était un homosexuel.

Paul Biya, développant un jour cette idée devant des auditeurs attentifs parmi lesquels l’auteur du présent ouvrage, dans le cadre de ses « causeries éducatives », n’a pas manqué de s’appuyer sur les Saintes Ecritures pour étayer ses arguments. Il entraîne alors ses auditeurs dans l’Evangile de Jean.C’est la Sainte Cène. Jésus est avec les 12 Apôtres. Parmi les 12, il y a celui qui aime à se désigner en des termes très équivoques : « le disciple que Jésus aimait ». C’est précisément l’auteur du quatrième évangile, Saint Jean. De tous les disciples et apôtres, il est le plus jeune. C’est peut-être la raison pour laquelle le Christ semble avoir une affection particulière pour lui, parce qu’il est encore qu’un enfant. Mais il y a quand même quelque chose de curieux dans cette manière de dire : « le disciple que Jésus aimait ». Est-ce à
considérer qu’il n’aimait pas les autres disciples ? Ne dit-on pas de lui qu’il aime tout le monde ?

La question va se compliquer dans le verset 23 du chapitre 13, quatrième évangile : « un des disciples, celui que Jésus aimait, était couché sur le sein de Jésus ». Et cela paraît à la fois curieux et déplacé. Dès lors, le terme « aimait » revêt un sens plutôt suspect. Il est évident que ces gens ne sont pas à table, mais sont plutôt couchés. Et ce repas se prend selon la formule de l’époque, non autour d’une table mais bien sur des divans, avec la nuance que celui que Jésus aimait était couché auprès de lui, sur le divan, en ce comportant curieusement comme une femelle, puisqu’il était tantôt couché sur le sein du Seigneur, et tantôt penché sur sa poitrine, attitudes strictement fémnales (verset 25), dont l’évidence va être marquée par le verset 24 : Jésus et celui qu’il aimait étaient à part du groupe. Simon-Pierre n’aurait pas eu à faire signe à l’autre ; il aurait pu personnellement poser la question à Jésu. Mais gêné manifestement par l’écart qui les séparait, il a préféré faire signe à celui qui était couché sur le sein du maître. « Et ce disciple, s’étant penché sur la poitrine de Jésus, lui dit : Seigneur qui est-ce ? » (Jn. 13, 25).

Après la Cène, Jésus et son groupe se rendirent au jardin de Gethsémni, selon Marc. Jean se contente juste de citer vaguement « un jardin » où devait se poursuivre ce qui avait commencé avec la cène. Jésus est finalement arrêté. Marc précise qu’un jeune homme le suivait. En veillant à éluder son identité. Jean par contre n’y fait même pas allusion. Mais on sait qu’il n’y avait de jeune homme dans le groupe que Jean, adolescent. Mais ce détail, dans le cadre de l’identité n’est guère important dans l’idée de l’évangéliste.

Seulement, le geste de ce jeune homme qui suit Jésus alors que tous les autres ont fui, traduit sa fidélité et son attachement au Seigneur. Néanmoins il y a à considérer que le jeune homme en question et le disciple que Jésus aimait sont une seule et même personne, c’est-à-dire Jean. Et subitement, coup de théâtre dans Marc 14 : au verset 51, il est dit qu’un jeune homme le suivait, n’ayant sur son corps qu’un drap. Les agresseurs de son maître se saisissent de lui. Mais lui, au verset 52, lâche son vêtement et se sauve tout nu. La situation interpelle le lecteur : après ces élans de tendresse à la Cène, où le disciple que Jésus aimait était tantôt couché sur son sein et tantôt penché sur sa poitrine, qu’est-ce qu’il faisait cette fois nu au Jardin de Gethsémani ? Il est vrai que l’auteur du quatrième évangile n’y a pas pensé, mais ne fallait-il pas au préalable que le lecteur sache si celui-ci était déjà nu, avec pour unique vêtement un drap à la cène, lorsqu’il se couchait ou se penchait sur Jésus ? Or le jeune homme s’enfuit tout nu. Parce qu’il sait qu’il constituerait la preuve de cette pratique homosexuelle que la loi juive traite d’abomination. Ce genre de faute est sanctionnée par une lapidation. Alors le jeune homme a tout intérêt à se sauver pour ne pas compromettre Jésus Christ et lui.

Car, ils étaient considérés comme une dangereuse bande se livrant à toutes sortes de pratiques réprouvées par la Thora, loi juive. Par exemple les invocations, interdites par la loi, Jésus les pratiquait : il emmène ses apôtres sur la montagne pour invoquer Elie et Moïse. Mais il prend des précautions en allant loin du village et en ordonnant ensuite à ses amis de ne pas révéler ce qu’ils ont vu. Parce que cela aurait pu également leur valoir une lapidation.

Et ce disciple que Jésus aimait, qui se retrouva tout nu à ses côtés depuis la cène sans doute, ou alors seulement au jardin, ce qui serait encore plus suspect : qui l’a castré ? Car historiquement, on sait de Jean qu’il n’avait qu’un seul testicule et qu’il est mort très vieux sans avoir jamais eu à se servir de son **** dans le contexte des rapports sexuels. Il n’a eu ni épouse, ni descendance. Il ne fut même pas circoncis. Tout cela pourquoi ? (Attention, l’auteur n’a fait que présenter les idées, les arguments, et les propos du Président en toute fidélité. Les développement et commentaire ci
-dessus sont réalisés dans le respect de la logique de Paul Biya, et non de l’auteur qui n’est en rien engagé à cela, mais contribue à la compréhension de l’idée du Président sur la question).

Après ses initiations à la pratique de l’homosexualité, Paul Biya qui en a pris conscience des avantages, va s’y mettre à un rythme vertigineux. Dans son entourage, tout le monde doit y passer. Même les personnes les plus respectables. D’ailleurs, plus on a de l’influence socialement, plus il gagne dans ce lien homosexuel. Il s’y met tant et si bien qu’il finit par délaisser son épouse Jeanne-Irène déjà gravement mais injustement marquée du sceau d’une malédiction qu’elle ne porte pourtant pas. A la réalité, Jeanne-Irène n’est pas stérile ; c’est lui, Biya qui a des problèmes de procréation. Mais lorsqu’un couple à ce genre de problème, on indexe immédiatement l’épouse alors le handicap pourrait bien partir de l’autre ».

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