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Restrictions des visas : Voici une déclaration de guerre des USA aux Ambazoniens

Au vu des restrictions de visas imposées par les autorités américaines à tous ceux qui soutiennent directement ou indirectement la violence et les violations des droits humains dans les régions du nord, de l’ouest et du sud-ouest, c’est une question que de nombreux observateurs se sont posées.
Enfin, de bonnes nouvelles sont arrivées de Washington. Désormais, les États-Unis imposent des restrictions de visa aux artisans de guerre du Sud-Ouest et du Nord-Ouest. Le secrétaire d’État américain Anthony Brinken a clairement fait savoir le 7 juin qu’il était préoccupé par la poursuite des violences dans les deux régions du Cameroun. Quelle bonne décision, après près de 5 ans de barbarie et de terreur contre les populations de ces deux régions, lorsqu’elle s’attaque enfin à la haine, la violence, la barbarie et la violence qui sévit dans cette partie du territoire camerounais, combien elle est saine et violente. colère du salut.

 

« Les États-Unis sont profondément préoccupés par la poursuite des violences dans la zone anglophone du Cameroun », a déclaré sans hésiter Anthony Brinken, puis a ajouté : « Nous continuons d’appeler le gouvernement camerounais et les groupes séparatistes à mettre fin aux violences. Sans conditions préalables Dialogue pour résoudre pacifiquement les crises Il est important que les enfants puissent aller à l’école et apporter une aide humanitaire (…) Nous condamnons ceux qui participent ou incitent à la violence, aux violations des droits humains, aux abus et aux menaces contre les défenseurs de la paix ou humanitaires Ceux qui viennent détruire la paix ».

 

Il va sans dire que depuis le déclenchement de la crise dans ces deux régions du Cameroun, les Ambazon sont connus comme des artisans violents en raison de leur entêtement et de leurs méthodes presque barbares, et ils sont plus enclins à abuser et abuser. Droits de l’homme, a déclaré le secrétaire d’État américain. Ainsi, outre les viols, les enlèvements et le boycott des activités sociales et éducatives dans cette partie du pays, les exécutions brutales menées par ces terroristes ont profondément affecté la vie des communautés vivant dans ces deux régions anglophones depuis de nombreuses années.

Pour mémoire, on peut citer le massacre de 8 élèves de l’Académie internationale des mères bilingues Francisca de Fiango à Kumba le 24 octobre 2020 ; et le 29 septembre 201 Après avoir été violée par des bourreaux dans le nord-ouest du Japon, la gardienne de prison Florence Ayafor a été horriblement assassiné; l’incident de l’assassinat, la vidéo à l’époque, a suscité l’indignation de tout le pays et de la communauté internationale.

Les mesures
Tant de cas et tant d’autres cas suffisent aujourd’hui à prouver l’extrême cruauté de ces séparatistes d’Ambarzon. Ces gens n’ont ni foi ni loi. Ils continuent d’être les otages contre rançon, tout en faisant face à toutes ces intimidations et traumatismes inhumains. Les familles ont exprimé leur profond respect. comportement. Cependant, le gouvernement camerounais n’est pas resté les bras croisés face à cette situation qui perdure dans les zones anglophones de notre pays, malgré la sienne.

Le plus important est de rappeler que les crises actuelles dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest ont commencé avec les exigences dites corporatistes pour les enseignants et les avocats fin 2016. Selon le plaignant, ces demandes initiales concernaient principalement la traduction anglaise du code Ohada. Après cela, ils reviendront bientôt au fédéralisme dans ces deux régions. En réponse à ces demandes qui semblaient être des ordres dès le départ, le gouvernement camerounais agit rapidement pour démanteler les bombes et publier le Code Ohada en anglais.

Par la suite, le président de la République va instruire en 2017, la création d’un département de la Common Law à l’Ecole nationale d’Admi-nistration et de Magistrature (Enam), dont la première promotion débutera les cours le 8 janvier 2018. Pour intensifier l’offre, le chef de l’Etat ordonnera, en mars 2017, la création d’une faculté des Sciencesjuridiques et politiques à l’université de Buea, ainsi que l’instauration de la filière Common Law dans d’autres universités d’Etats abritant cette faculté, qui ne possédaient pas encore la filière en question ; jusqu’à ce que, la Commission nationale de promotion du bilinguisme et du multiculturalisme (Cnpbm), soit mise sur pied par décret présidentiel, le 23 janvier 2017, avec pour objectif d’œuvrer pour la consolidation de la paix, l’unité nationale et le vivre-ensemble des Camerounais.

Mais alors, au regard de la persistance des hostilités en zone anglophone, le président estime qu’il est urgent de trouver les voies et moyens plus crédibles pour que la paix revienne définitivement dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. C’est dans cette optique qu’il convoquera le Grand dialogue nationale (Gdn), qui se tiendra du 30 septembre au 4 octobre 2019, et dont la mise en œuvre des résolutions apportent des résultats concrets aujourd’hui sur le terrain. Notamment, par cette main tendue du grand artisan de la paix aux sécessionnistes, l’on assistera à la réinsertion des ex-combattants ambazoniens au sein de la communauté, en les orientant dans plusieurs secteurs d’activités, à travers le comité national de désarmement, de démobilisation et de réinsertion (Cnddr) dans les différentes zones en guerre sur le territoire national.

Le chef de l’Etat va également initier le programme de reconstruction des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest pour que les populations y retrouvent leur train de vie normal. Pourtant, toutes ces résolutions se sont heurtées à l’intransigeance des séparatistes et de leurs pourvoyeurs de fonds qui résident pour la plupart aux Etats-Unis. Par contre, il n’est pas exclu que des éléments égarés et zélés de nos forces de défense et de sécurité aient eu à commettre des bavures et des erreurs, soit. Ce qui n’est pas l’apanage de la seule armée camerounaise. Mais il faut relever que, après que des enquêtes aient chaque fois révélé des coupables, ceux-ci ont toujours été punis, selon le règlement de notre armée.

Vidéo
Malheureusement, la triste et désolante impression qui s’est dégagée jusque-là, c’est que les Ong et de nombreux observateurs étrangers manifestent un parti-pris flagrant en fermant systématiquement les yeux sur ces abominables atrocités perpétrées par ces groupes séparatistes, pour ne focaliser leurs critiques qu’à l’égard de l’armée camerounaise. Somme toute, une armée moderne et respectueuse des droits de l’Homme qui se distingue davantage par son professionnalisme et son humanisme.

Mais ce qui est surtout surprenant! pour de nombreux observateurs est que les autorités américaines aient décidé tout à coup de refouler sur leur territoire, tous ceux que l’on soupçonne de financer la guerre dans ces 2 régions anglophones du Cameroun, pourtant ils l’auront fait bien avant que la situation ne devienne plus critique dans cette partie du territoire camerounais. Ce d’autant plus qu’une certaine opinion cherche à comprendre si la décision américaine de restriction de visa imposée aux financeurs de la guerre dans les régions anglophones (je notre pays, serait une déclaration de guerre aux Ambazoniens.

Et ceci, au moment où une vidéo sur une certaine Edith Manka’a Nang vivant aux Etats-Unis, fait le tour des réseaux sociaux depuis la semaine dernière. Selon les informations révélées sur cette dernière, la femme en question est présentée comme l’une des grandes pourvoyeuses en munitions et armes automatiques aux terroristes ambazoniens, en complicité avec ses 3 enfants. Son engagement à dessein destructeur pour le Cameroun n’est plus à démonter, tel qu’on la voit dans ce vidéo entrain de manipuler tout un arsenal de guerre qu’elle s’apprête à convoyer au Cameroun.

Aux dernières nouvelles, Edith Ngang, Elambi Walters Muna, et Tamufoh Nchumuluh St Michael (tous des Camerounais) viennent d’être inculpés dans l’Etat du Maryland pour complicité, financement et armement des terroristes sur le sol américain. Selon nos sources, dans l’acte d’accusation du procureur de la République près le tribunal de l’Etat du Maryland, il est reproché à la bande à Edith Ngang d’avoir exporté des équipements militaires, des armes de guerre, des munitions et de l’argent en espèces dans des containers à destination du Nigéria Le point de chute de la cargaison étant le Noso auCameroun. Tout ceci, depuis le mois de novembre 2017 jusqu’au 19 juillet 2019. Des activités condamnées par la loi américaine. Chaud devant pour tous les entrepreneurs de guerre au Noso établis aux Etats-Unis et certains pays occidentaux.

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