Olivier Véran change de vie : l’ancien ministre a repris ses études pour exercer un métier étonnant

Alors qu’il n’est plus porte-parole du gouvernement, Olivier Véran est en pleine reconversion professionnelle. Comme il l’a expliqué au Figaro, l’ancien ministre de la Santé reprend ses études pour changer de métier !

Alors que certains consacrent toute leur vie à la politique, d’autres ne se sont que de passage dans les sphères étatiques. C’est manifestement le cas d’Olivier Véran, qui est en pleine reconversion professionnelle. Pour rappel, le médecin neurologue avait débuté sa carrière politique en devenant conseiller régional d’Auvergne-Rhône-Alpes en 2015, puis député de la première circonscription de l’Isère en 2017. Il avait peu à peu gravi les échelons, jusqu’à être nommé ministre des Solidarités et de la Santé en février 2020, succédant ainsi à Agnès Buzyn, au tout début de la pandémie de Covid-19.

Nommé porte-parole du gouvernement d’Elisabeth Borne, Olivier Véran a tiré sa révérence en janvier dernier, peu avant que cette dernière ne soit remplacée par Gabriel Attal, le nouveau Premier ministre. Depuis, le médecin de 43 ans, ex-compagnon de Coralie Dubost, est toujours député de l’Isère, mais n’a pas retrouvé de poste au sein du gouvernement. Résultat : il retourne sur les bancs de l’école !

Olivier Véran en pleine reconversion professionnelle

D’après les informations du Figaro, Olivier Véran s’apprête à renfiler sa blouse de médecin, à raison d’une journée par semaine. Non pas pour exercer dans sa spécialité, la neurologie, qui a « trop changé à ses yeux », mais bien pour le service de… médecine esthétique ! Ce jeudi 14 mars, il aurait fait ses premiers pas dans la Clinique privée des Champs-Élysées à Paris. D’après nos confrères, il y aurait rencontré l’équipe de spécialistes qui le formera à la lucrative chirurgie esthétique à raison d’un jour par semaine. L’ancien ministre espère obtenir les trois diplômes nécessaires à l’exercice de ce métier, à la faculté de Créteil, d’ici l’été.

Interrogé par Le Figaro, Olivier Véran explique voir dans cette nouvelle carrière l’opportunité d’aider « des gens à se sentir mieux dans leur peau, dans leur corps », et à se « réparer après une maladie ». Par ailleurs, il explique son choix par le fait qu’il craignait que son passé au gouvernement ne biaise son rapport avec les patients. Une perspective qu’il redoute manifestement moins dans une très chic clinique privée.