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OFFICIEL: Voici pourquoi Brenda Biya renie ses parents et les accuse de la traiter comme une anglophone

• Brenda Biya annonce sa rupture avec ses parents

• Elle estime que le traitement qu’on lui réserve est similaire à celui des anglophones

• La vidéo publiée par Brenda Biya

Aucune journée ne passe sans que la première fille du Cameroun ne fasse parler d’elle.

Après avoir déclare être séquestrée dans une chambre de l’hôtel International de Genève, dans une message vidéo devenu viral sur les réseaux sociaux, Brenda Biya annonce sa rupture avec ses parents Paul et Chantal Biya.

En effet, la fille unique du couple présidentiel camerounais accuse ces parents de ne pas lui donner l’amour dont elle a besoin. Elle estime que le traitement qu’on lui réserve est similaire à celui des anglophones.
« Je n’ai pas de parents. Dès le départ, ils ont été absents, ils ne m’ont jamais élevé, ils ne m’ont jamais donné d’amour comme un véritable enfant. Tout va bien tant que tu es à leur portée. Tout ce qui les intéresse c’est leur image.

Je ne pense pas que ce soit un parent. Donc à partir de maintenant je n’ai ni papa ni maman. Je n’ai pas de sang, pas de frères. Embrassez mon cul. Traitez-moi de fou, peu importe Je sais à quoi ressemble l’amour et ce n’est pas le mien. Mes frères et soeurs et mes parents qui conspirent contre moi. Ma mère n’a jamais voulu me voir grandir. Mon père non plus. Personne ne veut me donner des ailes pour accomplir quelque chose. Des ailes pour être ma propre personne. Silence ma faute mais avec ça vous n’avez pas n’avez pas de fille. », a-t-elle déclaré.

Brenda estime que le traitement qu’on lui réserve est similaire à celui reservé aux anglophones.
« Merci maman et papa, vous n’entendrez plus jamais mon nom, je m’en fous si je meurs ici. Je n’ai pas d’amour pour vous tous ! Alors utilisez votre pouvoir pour abuser de moi, le pouvoir leur est monté à la tête. Votre enfant ne vous doit plus rien. Et je m’en fous, je l’ai dit.

Vous pouvez me traiter comme vous traitez n’importe quel camerounais ou anglophone ordinaire, je m’en fous, aucune somme d’argent ne pourra jamais m’acheter. Vous pouvez tous m’oublier, je ne veux pas me plier à vos règles.

Une relation parent-enfant ne doit pas être une relation dictateur-soumis. A partir de maintenant, ce n’est plus ton enfant. Ces médecins blancs ont réussi à nous séparer et je n’ai plus de parents. C’est fou comme ces couvertures sont manipulatrices calculatrices et suffisantes pour s’immiscer entre BLOod. Je n’ai plus d’enfant mais à partir de maintenant je n’ai plus de parents ce n’est pas comme ça que des parents traitent un enfant. Dites ce que vous voulez !! », conclue-t-elle.

SEQUESTREE, BRENDA BIYA CRIE AU SECOURS: ‘JE DOIS MOURIR AVANT QUE QUELQU’UN NE FASSE QUELQUE CHOSE ?’

C’est un nouveau scandale qui vient noircir l’image de la famille présidentielle camerounaise.

Dans un message vidéo, devenu viral sur les réseaux sociaux, la première fille du Cameroun déclare être séquestrée dans une chambre de l’hôtel International de Genève.

Décrivant sa situation, Brenda Biya confie qu’elle est bloquée dans sa chambre d’hôtel et qu’elle ne peut se rendre aux urgences pour se fait consulter.
« Je n’ai pas le droit de sortir d’un hôtel pour aller aux urgences. Moi je suis séquestrée dans un hôtel. Ils font ça à leurs autres dossiers ?… des gardes du corps essaient de me menacer de me maîtriser tout ça parce que je veux aller aux urgences. », s’exclame-t-elle.

Dépassée par « l’enfer » qu’on lui fait subir, Brenda Biya estime que la dictature est partout.
« Je dois mourir avant que quelqu’une ne fasse quelque chose. La dictature c’est partout, même à Genève. Je ne sais pas combien de millions ou de milliards ont leur a donné pour laisser quelqu’un crever. J’ai failli mourir dans cet hôtel en faisant une crise d’asthme », confie-t-elle.

ON M’A INFLUENCEE A FAIRE L’ENAM, ALORS QUE JE N’EN AVAIS PAS ENVIE – BRENDA BIYA

Dans une publication sur sa page Facebook, la fille du chef de l’Etat camerounais Paul Biya affirme avoir été manipulée par ses amies, afin qu’elle puisse se faire former à l’Enam.

Pour Brenda Biya, ses amies ont été envoyées par des personnes qui voulaient utiliser son nom pour leurs propres intérêts. Dans sa publication, Brenda n’a pas donné le nom de ces personnes.

« C’est ainsi que ce sont même des « amis » qu’on nous a envoyés pour m’influencer à faire Enam alors que je n’en avais pas envie. Mais comme eux ils veulent njoum dedans c’est Brenda qu’on manipule », écrit la fille de Paul Biya sur sa page Facebook.

Elle aime s’amuser sur les réseaux sociaux. Mais pour certaines personnes, les sorties de Brenda Biya sont souvent des cries, l’expression de ses douleurs, ses frustrations.

L’activiste Zona Coker a dans une récente tribune, affirmé que la fille du chef de l’Etat est contrôlée 24h24 par des agents, qui veillent à ses moindres faits et gestes.

Si elle aimait lorsqu’était adolescente, dans sa vie d’adulte, la fille du président Biya ne semble plus supporter cette situation. Elle se sent étouffée, contrainte à suivre les règles d’autrui que de les établir soi-même et s’enferme dans la drogue et la luxure. Cette situation inquiète l’activiste qui révèle l’enfer dans lequel elle se trouve actuellement en voulant arracher de force sa liberté à ces personnes qui la nourrissent à la cuillère.

« Moi à la place de Paul Daizy Biya Bi Mvodo. Je me ferais faire un autre acte de naissance et d’autres pièces d’identité avec un nom de famille qu’il pourra assumer après la chute du régime de son Mbombo. Si sa propre fille subit déjà une telle violence du vivant de son père, imaginez alors vous les Mbombo », écrit Zona Coker dans une publication. 

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