Mobilisation monstre pour la candidature de Paul Biya en 2025 : Manaouda Malachie frappe un grand coup (image)

La mobilisation pour l’appel de la jeunesse de l’Extrême-Nord en faveur d’une candidature de Paul Biya en 2025 est en train de faire l’actualité au Cameroun. L’événement a lieu actuellement au stade de Mokolo et la mobilisation est considérée comme monstre.

Le ministre de la Santé, Manaouda Malachie, a lancé cet appel et le rassemblement a lieu le 17 mai 2023. À travers un courrier d’invitation, le motif de cette rencontre a été dévoilé et il s’agit de permettre à la jeunesse de l’Extrême-Nord de témoigner son soutien sans tourie et d’exprimer son engagement inébranlable derrière le Chef de l’Etat. Dans le courrier, il est précisé que la présence du président Paul Biya donnerait un cachet particulier à ce grand rendez-vous politique porté par la jeunesse de l’Extrême-Nord.

Cela intervient alors que Paul Biya entretient toujours le flou sur son avenir politique, laissant planer le doute quant à sa candidature en 2025. En juillet 2022, lors d’une conférence de presse avec le président français Emmanuel Macron, il rappelait que son mandat court jusqu’en 2025, mais ajoutait : « Quand ce mandat arrivera à expiration, vous serez informée de savoir si je reste ou si je m’en vais au village. »

Il est important de souligner que l’appel de la jeunesse de l’Extrême-Nord pour une candidature de Paul Biya en 2025 est loin d’être le seul dans le pays. D’autres mouvements de soutien à une éventuelle candidature de l’actuel chef de l’Etat sont en train de naître un peu partout au Cameroun.

En définitive, la mobilisation en faveur de cet appel de la jeunesse de l’Extrême-Nord est une réussite et témoigne de l’engagement de certains Camerounais à soutenir une éventuelle candidature de Paul Biya en 2025. Cependant, la question de la candidature de l’actuel chef de l’Etat reste toujours d’actualité et continue de susciter des débats et des interrogations au sein de la classe politique et de la société civile camerounaises.