Mimie Ngoga : Voici pourquoi ‘moi je me masturbe et j’éprouve un réel plaisir à le faire’

• Elle a fait la déclaration sur NCI dans l’émission « Les Femmes Ici »,

• Mimie Ngoga préfère se masturber et prendre du plaisir seule

• Le courage de l’artiste a éblouie plus d’un

Entre une vie de couple avec une sexualité épanouie et se procurer du plaisir ****** seul et jouir, l’actrice de cinéma et artiste de la chanson camerounaisee Mimie a fait son choix et a eu le courage de l’assumer. Reçue sur la Nouvelle chaine ivoirienne, la Camerounais a révélé qu’elle préfère se masturber pour ce moment car cela lui procure du plaisir. Elle a eu le courage d’assumer cette pratique sexuelle, ce que font la majorité des gens (homme comme femme) mais qui reste un sujet tabou dans la société.

Reçue sur le plateau de l’émission « Les Femmes Ici », Mimie n’est pas passée par quatre chemins pour parler de sa sexualité. « Vu que je suis dans un milieu un peu difficile, donc il faut choisir la bonne personne avec qui tu peux te mettre bien, c’est pour ça que moi je me masturbe et j’éprouve un réel plaisir à le faire », a-t-elle révélé en direct. Cette révélation courageuse a été saluée sur le plateau par les autres invités.

Mais si Mimie Ngoga a eu le courage de lever un coin de voile sur cette pratique sexuelle qu’elle affectionne tant, ce n’est toujours pas le cas dans la société camerounaise. Il est de notoriété publique qu’une grande partie de fille en raffole seulement, elles n’ont pas toujours le courage de l’assumer. « Même les filles qui se masturbent en cachette avec les bouteilles de déodorant et les concombres vont venir dire à Mimie Ngoga qu’on ne parle pas publiquement de cette affaire », ironise un internaute.

Il faut aussi rappeler que la pratique fait toujours débat. Certains estiment que c’est une pratique malsaine qui agit sur la spiritualité des gens qui s’y adonnent alors que d’autres pensent que c’est naturel et que c’est juste une pratique sexuelle parmi tant d’autres, qui n’a pas tellement d’effet sur les gens.