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‘Liberez-les’: Samuel Mvondo Ayolo a failli faire sortir Amougou Belinga, mais a été démasqué

Le journal « Repères », dans sa parution de ce lundi 06 mars, vient de jeter une grosse pierre dans la « marre » de l’affaire Martinez Zogo, qui a conduit à l’arrestation et le déferrement à Kondengui de Jean Pierre Amougou Belinga.

Justement, ce dernier a failli être libéré il y a quelques jours, selon de journal « Repères ». Notre confrère affirme, sans laisser transparaître la moindre retenue, que le Directeur du Cabinet Civil de la Présidence de la République, a ordonné aux enquêteurs, de libérer sur instruction du chef de l’Etat bien sûr, Jean Pierre Amougou Belinga. Une fausse instruction, selon nos confrères.

« Le DCC tente de torpiller l’enquête…Samuel Mvondo Ayolo, le mauvais génie du Palis de l’unité, échoue dans sa tentative désespérée de faire libérer les suspects, indiquant aux juges en charge de l’affaire, qu’il s’agit d’un ordre du président de la République », indique le journal dans dans un article ce lundi.

« Fort heureusement, la vigilance des magistrats a permis de déceler l’entourloupe qui aurait pu causer une explosion au sein d’une population camerounaise assoiffée de vérité sur les circonstances ayant conduit au meurtre crapuleux du journaliste… », lit-on également dans le journal.

Amougou Belinga inculpé et envoyé à Kondengui

Au petit matin de samedi mars, Jean –Pierre Amou Belinga a été officiellement inculpé puis envoyé à la prison de Kondengui dans le dossier de l’assassinat de Martinez Zogo. C’est ce que notre reporter Paul Chouta qui a campé devant le tribunal militaire toute la nui vient de nous indiquer.

Rappelons que c’est depuis le 6 février que les gendarmes du secrétariat d’État à la Défense (SED) ont attendu les premières heures du jour, pour se présenter au domicile de Jean-Pierre Amougou Belinga, situé dans le quartier du complexe Beac, dans le sud de Yaoundé.

L’homme d’affaires, suspecté d’être impliqué dans le meurtre du journaliste Martinez Zogo, a ainsi été interpellé vers 5 h 30 du matin, sur ordre du patron du SED, Galax Yves Landry Etoga.

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