à la uneCamerounSociété

Le président du groupe l’Anecdote Amougou Belinga sera à nouveau présenté au commissaire du gouvernement avant la fin de la semaine. En attendant ce rendez-vous fatidique qui scellera son sort, le Zomloa des Zomloa a fait une requête spéciale au commissaire du gouvernement. Il a demandé un rencontrer une jeune demoiselle. Il ne s’agit pas de sa troisième épouse Melissa, mais d’une certaine Ngo’batoum Michèle Vanessa. Le commissaire du gouvernement à son tour à saisi le chef service central des recherches judiciaires.

C’est une semaine manifestement noire pour cette famille obligée de pleurer son membre tué et dont le cadavre a été découvert en état de décomposition avancée.

Les faits se déroulent à Édéa, communauté urbaine et chef-lieu du département de la Sanaga-Maritime dans la région du Littoral au Cameroun.

Comme le récite Nzui Manto, « le cadavre d’une femme en état de putréfaction a été découvert ».

En réalité, « le quartier Aviation est depuis de nombreuses heures sous le choc et l’émoi après la découverte macabre des restes d’une femme gisant dans un bâtiment en construction ».

Il s’agit de Mispa Nangun, originaire du Nord-Ouest. Elle « avait fui les violences de la guerre qui déchirent ses terres et trouvé refuge à Édéa où elle devint connue grâce au wata-fufu et éro, principal mets de son commerce ».

Grâce à ses délicieux plats, elle avait fini par se faire une réputation particulière de bonne cuisinière et plusieurs personnes venaient s’asseoir à ses tables dressées.

Malheureusement, « le 07 décembre de cette année, Mispa quittait son domicile sans plus jamais donner signe de vie jusqu’à hier (lundi le 20 février, ndlr), journée à laquelle une découverte ignoble viendra mettre fin à l’espoir qu’entretenaient ses proches ».

La source ajoute que malgré son « état de décomposition avancée, Mispa a été identifiée grâce à ses vêtements et une pièce d’identité découverte sur les lieux. Une traditionnelle enquête a été ouverte ».

Assassinat : un nouveau membre de la diaspora camerounaise tué à Yaoundé

Le 20 février dernier, un cadavre portant des coups de poignards a été découvert sur l’autoroute de Nsimalen. Après une journée, suite aux publications relayées sur les réseaux sociaux, la famille de la victime s’est manifestée et a pu l’identifier.

Selon les informations qui ont été divulguées, la victime répondrait au nom de Marie-Florence Kwadith, infirmière, mère de quatre (04) enfants et résidant en France, à Paris.

Sa présence sur le territoire camerounais s’explique par sa participation aux obsèques de sa sœur. Et vendredi dernier, elle a accompagné un proche à l’aéroport de Nsimalen. C’est sur le chemin du retour que son existence a été subitement écourtée.

Des malfrats lui sont tombés dessus sur la route et l’ont poignardée à plusieurs reprises. Après avoir commis cet acte ignoble, ces derniers se sont enfuis avec le véhicule de Marie-Florence en laissant son corps dans une carrière désaffectée non loin de l’autoroute.

D’autres sources telles que Nzui Manto évoquent un différend foncier qui l’opposait à un homme qui avait promis de lui ôter la vie.

La thèse d’une agression banale est donc écartée par les proches de la victime, lesquels privilégient « la piste d’un enlèvement suivi d’un assassinat ». La pauvre Florence devait renter à Paris cette semaine.

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

RSS
Follow by Email
YouTube
Pinterest
LinkedIn
Share
WhatsApp