Devant des erreurs d’arbitrage -constatées par certains observateurs- et qui, selon eux ont émaillé l’édition actuelle de la Coupe d’Afrique des Nations, l’équipe nationale d’Algérie est confrontée à des appels au boycott de la compétition.
Abdelkrim Bira, une figure emblématique du football algérien et un entraîneur renommé, a récemment plaidé en faveur d’un tel boycott des compétitions africaines, réagissant ainsi aux erreurs d’arbitrage flagrantes, similaires à celles subies par l’équipe d’Algérie lors de son affrontement contre le Burkina Faso.
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Avec une fermeté notable, Abdelkrim Bira a exprimé : « Si nous continuons à subir de telles injustices dans chaque match, il devient crucial de prendre des mesures résolues pour défendre nos droits. Insha’Allah, nous l’emporterons face à la Mauritanie, mais si nous observons des irrégularités, il sera temps d’agir. Nous ne sommes pas à la merci de marionnettes ; nous avons notre propre histoire et nous pouvons envisager le boycott. »
L’arbitre de ce match particulier a omis de siffler trois penalties qui auraient dû être accordés à l’Algérie, comprenant deux mains évidentes et une faute sévère commise contre Bounedjah dans la surface de réparation. L’appel de Bira reflète la frustration croissante au sein de la communauté du football algérien face aux décisions arbitrales controversées. L’ancien joueur est catégorique : « le football doit être caractérisé par la justice et l’équité. En cas de violation de ces principes, des mesures radicales pourraient être envisagées afin de défendre les intérêts de l’équipe nationale algérienne. »
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