«Il est méchant, c’est l’adversaire le plus difficile que j’aie affronté»

Zidane le révèle enfin lors d’une interview accordée à la Chaine Youtube de l’équipementier Adidas. Ce joueur qui lui a causé des misères en carrière.

Zinédine Zidane n’est plus un joueur à présenter. Il a connu une carrière exceptionnelle, en ayant tout gagné. Ligue des Champions, Coupe du Monde, Euro… le magicien français a tout raflé. Technique, dribbleur, passeur hors-pairs, l’ex entraineur du Real Madrid a été un véritable calvaire pour ses adversaires. Mais, il était tombé sur un qui lui a mené la vie très dure. Il s’agit de l’ex défenseur de l’AC Milan, le capitaine Paolo Maldini. Une révélation faite lors d’un entretien à Adidas.

« Le plus dur… Bon, pas le plus dur, mais le plus difficile. Dans le sens où il était très bon, pas dans le sens méchant où il voulait te faire mal. Le plus difficile, c’était Paolo Maldini parce qu’il était très intelligent sur le terrain. Des fois, j’étais en face de lui… Il y avait (Lilian) Thuram aussi. Mais lui il était dur (rires). Quand tu l’as dans ton équipe, tu es content. », a-t-il révélé.

Zidane, un joueur qui a marqué les esprits

Un seul mot représente Zidane, c’est l’élégance. C’était un joueur incroyable. Il a laissé une trace indélébile dans le monde du football. Une trace qui a une résonnance même des années après la fin de sa carrière.

Sur le terrain, Zinédine Zidane rassurait ses coéquipiers. Quand il y a la balle, quelque chose doit se passer systématiquement. Il anticipait beaucoup et avait un  temps d’avance sur ses adversaires. Plusieurs images reviennent qui incarnent l’élégance de Zidane. Le but en toute classe marqué en finale de la Ligue des Champions en 2002 face au Bayer Leverkusen. Ce n’est pas tout.

En sélection française, l’on peut évoquer son doublé en finale de la Coupe du Monde 1998 face au Brésil. Et également, son récital technique face au Brésil encore une fois en quarts de finale du Mondial 2006. Il était d’ailleurs passeur décisif sur l’unique but des Bleus inscrit par Thierry Henry.