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Guerre de clans à Etoudi: Voici comment Mvondo Ayolo livré à Paul Biya

Le crime du ministre, directeur du Cabinet civil, c’est sa loyauté indéfectible au chef de l’État. Au moment où plusieurs collaborateurs de Paul Biya semblent, de plus en plus, avoir la tête dans sa succession
Encore une cabale haineuse et honteuse contre Samuel Mvondo Ayolo ! Le fidèle parmi les fidèles du président de la République est, depuis quelques jours, la cible d’attaques sordides ourdies par des individus retors.

Ces bonimenteurs lui prêtent une fortune qui n’existe que dans leur esprit dérangé. A travers une lettre aussi imaginaire que son auteur, ils tentent de manipuler l’opinion en publiant les prétendus “biens” du ministre-directeur du cabinet civil. A en croire certaines sources, Samuel Mvondo Ayolo est né avec une cuillère en or dans la bouche.

Son père, Moïse Ayolo, fut à l’époque un puissant opérateur économique prospère, qui a fait plus que Ndongo Essomba et T.Bella. Car il achetait le cacao dans le Centre-Sud pour ensuite l’exporter. Bien qu’ayant grandi dans un environnement marqué par l’aisance financière et matérielle, l’ancien ambassadeur du Cameroun au Gabon mène une vie discrète sans bling bling.

On ne lui connait aucun scandale financier encore moins d’acquisition tapageuse. Visiblement, ses adversaires politiques s’obstinent à ternir son image d’homme intègre, dernier rempart du chef de l’Etat, via des lettres cousues de fil blanc.

Après enquête, cette boule puante s’avère être l’œuvre du fameux cabinet noir. Cette nébuleuse brille par des intrigues de bas étage. Aussi la loyauté de Samuel Mvondo Ayolo à Paul Biya fait-il de lui un homme à abattre. Des langues vipérines vont jusqu’à lui prêter des ambitions présidentielles. Une hérésie quand on sait le dévouement de ce diplomate de haut vol à l’homme du 06 novembre 1982.

Loyal à Paul Biya

En effet, à l’inverse de certains pontes du régime, qui pensent à l’après Biya, tous les matins en se rasant, le successeur de Martin Belinga Eboutou, de regretté mémoire, n’a qu’une seule ambition, servir loyalement le chef de l’État. A cette fin, il ne ménage guère sa peine pour mener à bien la mission à lui confiée par le chantre du Renouveau.

A ce sujet, des exemples abondent. L’on a encore frais dans les mémoires, la maestria avec laquelle il a obtenu l’annulation, par les autorités suisses, de la marche des activistes de la diaspora. Ceux-ci voulaient perturber le séjour présidentiel d’août dernier à Genève. Malheureusement pour eux, ils ont croisé sur leur chemin un diplomate chevronné doublé d’un fin stratège.

Si l’objectif de la lettre imaginaire est de ternir la réputation du digne fils du Dja et Lobo, après son brillant succès genevois, tout indique que c’est raté. La cabale ayant fait pschitt.

Toutefois, le cabinet noir, qui décidément déborde d’imagination, planifierait déjà, selon nos sources, une énième campagne de dénigrement. Comme quoi l’ennemi ne dort jamais. Vigilance donc !

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