à la uneCamerounSociété

Guerre à Etoudi : dans le viseur de Ngoh Ngoh, Sylvain Mvondo Ayolo dans la tourmente

Boris Bertolt fait de nouvelles révélations sur les secrets et les coulisses du palais de l’unité. La guerre des clans à Etoudi fait un nouvel épisode donc seul Boris Bertolt détient les scénarios exclusifs.

Dans ce nouvel acte, c’est une guerre entre le Secrétaire Général de la Présidence de la République; Ferdinand Ngoh Ngoh et le Directeur du cabinet civil, Samuel Mvondo Ayolo qui est développé par Boris Bertolt.

En effet, d’après le lanceur d’alerte, le SGPR serait très remonté contre le Directeur du Cabinet de la présidence de la république. Titré : « Samuel Mvondo Ayolo, dans le viseur de l’homme à la Punk. » , ce nouveau ne démontre néanmoins pas par des preuves le fond de cette guerre.

Rappelons aussi que ‘l’homme à la punk’ est le surnom qu’attribue Boris Bertolt au Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh.

« L’homme à la punk ne veut pas mourir seul et compte emporter avec lui tout ceux qu’il pourra. Désormais, il a jeté son dévolu sur Samuel Mvondo Ayolo, le directeur du cabinet civil.

Aujourd’hui plus que jamais persuadés que Samuel MVONDO AYOLO, le Directeur du Cabinet Civil de Paul BIYA, est à la source de tous ses déboires, l’homme à la punk jure par tous les dieux qu’il ne va pas mourir seul.

Tous les moyens de la République sont alors mis en branle pour remuer partout dans la vie privée de Tonton Sam.

Toute la presse et les médias proches de l’homme à la Punk s’activent à inonder le public avec des informations fondées ou pas, et parfois même incroyables.

Récemment l’homme à la punk a fait écrire par George Ewane, une note à l’attention de Paul Biya suite à la visite de Basile Atangana Kouna au cabinet civil. Tous les coups sont désormais permis.

L’homme à la Punk ne veut donc pas mourir seul. Il veut emporter le DCC dans sa chute. Et pourtant, de bonne source, tonton Sam n’y est pour rien dans la disgrâce de Tonton Ferdinand qui pense qu’il y’a que seul le DCC serait allé raconter ses frasques à l’homme lion. » a écrit Boris Bertolt

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

RSS
Follow by Email
YouTube
Pinterest
LinkedIn
Share
WhatsApp