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Enseignement supérieur :Découvrez comment les recteurs d’université d’Etat accusés de recruter sans aucun appel à candidature

Selon le communiqué collectif des docteurs/doctorants en colère, l’Université de Douala était en position de leader en six mois, avec plus de 60 assistants entrant dans le service, dont la plupart étaient des titulaires de master, ce qui n’est pas bon pour les docteurs/doctorants.

Les recteurs d’université parmi lesquelles celle de Douala accusés de recruter sans aucun appel à candidature dans les remplacements numériques. C’est la substance d’un communiqué de presse signé le 02 septembre 2021 par le collectif des Titulaires de Doctorat/Ph.D, sans emploi indignés.

Le collectif soutient que certains responsables d’Institutions Universitaires d’Etat du Cameroun ont pris pour habitude de recruter des assistants « sans ouverture ni définition de profils au préalable ». Ceci sous le regard passif et presque complice de la tutelle académique, du gouvernement et des leaders politiques.

« Ces recrutements sont faits dans un flou sans pareil et ceci au détriment de ces docteurs sans emplois qui, vacataires ou moniteurs œuvrent au quotidien pour la bonne marche des activités académiques et parfois sans reconnaissance aucune », lit-on dans le communiqué.

Selon le collectif des titulaires de Doctorat/Ph.D indignés, l’Université de Douala en particulier tient la tête du peloton avec la mise en service en l’espace de six mois de plus d’une soixantaine d’Assistants majoritairement titulaires de Master au détriment des Docteurs/Ph.D.

Des directeurs d’université, y compris le directeur de Douala, ont été accusés de recruter sans nombre de candidatures alternatives. C’est en substance le communiqué de presse signé le 2 septembre 2021 par les docteurs et les chômeurs en colère.

Le groupe a insisté sur le fait que les responsables de certaines institutions universitaires nationales au Cameroun ont pris l’habitude de recruter des assistants « sans divulguer ni définir d’informations personnelles à l’avance ». Ceci est sous la surveillance passive et presque complice des mentors universitaires, du gouvernement et des dirigeants politiques.

Le communiqué précise : « Ces recrutements se sont déroulés dans une ambiguïté inédite, ce qui n’est pas bon pour ces médecins au chômage. Ils assurent temporairement ou supervisent leur travail au quotidien pour le bon déroulement des activités académiques, et parfois ils n’obtiennent même aucune reconnaissance. . »

Selon un collectif de docteurs/doctorants en colère, l’Université de Douala a été la première à être mise en service, surtout en l’espace de six mois, avec plus de 60 assistants, dont la plupart sont titulaires d’un master. Ce n’est pas bon pour le médecin. / Doctorat

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