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En difficulté après plusieurs mois sans salaire, Decouvrez comment 2 joueurs du TKC brisent le silence et interpellent Eto’o

Depuis le début de saison, le Tonnerre Kalara Club est agité par la bataille des entités qui veulent contrôler le club sans partage. Cette crise qui plonge ce club dans la tourmente met en difficulté les joueurs dont certains ne savent plus à quel saint se vouer. Certains parmi eux sont excédés surtout par leur condition de vie notamment avec le nom payement des salaires. Deux d’entre eux, ont pris le courage sur eux pour effectuer une sortie médiatique. Ils dénoncent leur situation et interpellent Samuel Eto’o, président de la Fédération camerounaise de football.

« Le président de la Fecafoot, le président des jeunes, après toi, c’est le déluge. Nous personnellement, après toi, on arrête le foot. Viens nous au secours papa Eto’o. Nous les joueurs du Tonerre, notre argent est parti dans l’eau. Depuis 7 mois, on a rien perçu, rien même. Donc on t’attend Papa Eto’o », peut-on retenir dans l’élément vidéo qui devient virale


Affaire TKC : Samuel Eto’o exige le respect des textes.

Comme il est de tradition, le début de saison dans le tonnerre KALARA CLUB est agité par la bataille des entités qui veulent contrôler le club sans partage.

Le club mythique du quartier Mvog Ada risque se livrer en spectacle une fois de plus.
Depuis l’arrivée du football professionnel au Cameroun, Tonnerre est géré en fonction de l’organisateur du championnat.
La section société anonyme à objet sportif ( SAOS) ou par l’association sportive professionnelle d’un côté.
Depuis la dernière montée par la SAOS en 2019, l’équipe a été récupérée par l’association fort de la suspension de la ligue de football professionnel.
Cette entité a géré pendant deux saisons avec un bilan plus que négatif. Deux descentes en division inférieure et chaque fois le club bénéficie d’une décision administrative.
Depuis la victoire de Samuel Eto’o le 11 décembre dernier, la météo est défavorable à l’association TKC dirigée par Essomba Many. Contrairement à la fecafoot sous Seidou Mbombo Njoya, la nouvelle gestion de la fecafoot semble opter pour le respect des textes.
En effet l’entité commerciale du TKC a par le canal des correspondances informé l’instance faîtière du football sur la situation réelle du club.
C’est ainsi que le président de la fecafoot aurait instruit le directeur de développement de football afin de rétablir l’ordre à défaut d’une conciliation des parties.
L’arme fatale de la SAOS c’est la suspension du Sieur Essomba Many qui date de novembre 2018. Cette suspension n’a jamais été respectée car l’actuel directeur de l’hôpital de Ngoumou bénéficiait de la protection de l’exécutif dirigé par Seidou Njoya.

Affaire à suivre.

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