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Election présidentielle : ‘Paul Biya partira avant 2025’ si l’opposition suit ce plan

• L’élection présidentielle de 2025 cristallise les attentions au Cameroun

• La présence de Paul Biya est pressentie

• Mais il peut être battu sous des conditions selon Jean Crépin Nyamsi

Actuellement, un sujet revient avec insistance au Cameroun : l’élection présidentielle de 2025 et ses enjeux. Pouvait-il en être autrement ? Assurément pas puisque c’est une joute électorale décisive qui déterminera une fois encore l’avenir sociopolitique du pays à court, moyen, voire à long terme. Même si Paul Biya, chef du parti du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), n’a pas encore confirmé sa participation à cette élection, l’opinion publique ne le voit pas laisser sa place.

Dr Jean Crépin Nyamsi est du même avis. Sur Facebook, il s’est penché sur la question. L’ancien alliée du président de la Fecafoot Samuel Eto’o Fils appelle l’opposition à se fédérer autour d’un bon projet et une ambition honnête pour mettre hors-jeu celui qui est au pouvoir depuis 1982 et dont le règne n’a fait que trop durer.

Franchement, qui est l’imbécile qui manque le respect aux Camerounais ? Il est content de ce que je vois là ? Le régime en place ne mérite plus de gouverner ce pays. Donnons une correction au RDPC en 2025.

Mes chers politiques, il faut arrêter de jouer avec le cœur des Camerounais. J’insiste, persiste, signe et je suis convaincu qu’avec l’union d’une même voix de l’opposition, il partira avant 2025. Il faut un minimum de courage. Cette chose peut rendre aveugle et le créateur de ça est convaincu de sa beauté. La facture doit être en miyard.

Etoudi : ‘ce qui se prépare est pire’, les vérités sur l’après-Biya

Marie Lissouck, celle qui se fait appeler « La petite plume du peuple » a écrit une tribune dans laquelle elle parle du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), de son vice-président Mota Mamadou Yacouba, de la dictature, le tribalisme et d’autres maux qui minent le pays dirigé par Paul Biya, actuellement très souffrant.

Il est regrettable de miser sur la mort des gens pour faire taire la vérité… La vieillesse ne veut pas forcément dire qu’on va mourir bientôt. Sans quoi, les bébés, les enfants ne devraient pas mourir. La mort aime tout le monde sans distinction. La mort reste un chemin pour tous. Nul ne détient le calendrier de vie des autres.

Aussi, il me semble très important que je vous livre ce que j’ai subi et continue à subir par une meute tribale qui, par leurs actions violentes répétées a réussi à faire enterrer les espoirs de beaucoup de Camerounais. Nul ne pourra diriger le Cameroun juste en comptant sur la force des bandits qui lui dictent tout jusqu’à comment il devrait respirer.

Une fois en place, qui dirigera réellement ? Même si demain, Paul Biya n’était plus, ce qui se prépare sera pire… Certains de ceux qui rêvent d’entrer à Etoudi, sont encore plus dangereux. Je pèse mes mots. Vous êtes nombreux à ignorer la vérité qui fait suffoquer.

Et pour moi, tout a commencé avec le livre de Mota Mamadou Yacouba. Le lion de Tokombéré. Lorsqu’il me contacta un soir pendant qu’il était encore en prison à Kondengui, ce fut le début de ma fin sans que lui-même, le pauvre le sache.

Il ne savait pas non plus qu’à travers cette collaboration, les tribalistes se manifesteraient au grand jour. Si je n’étais pas une coriace je ne serais plus de ce monde. (Ce que j’avais pris pour un heureux hasard s’avèrera pour nous un piège mortel…).

(Il nous en a fallu du temps pour comprendre le mécanisme que le poseur dudit piège ignorait lui-même. Parfois on peut se retrouver au service du Diable par une extrême bonté ! C’est là le paradoxe de nombreux « faire-valoir ».) Ma chance c’est de ne pas manger dans les mêmes gamelles et de ne fréquenter aucun de leurs milieux ni dépendre de qui que ce soit pour vivre.

Mais en voyant ce que certains artistes subissent et pas d’autres sauf avoir la merde dans les yeux et la conscience souillée, tout le monde aujourd’hui peut comprendre la vraie dictature qui se prépare pour le Cameroun et je ne peux qu’avoir envie de vomir. Le tribalisme est le poison violent qui finira par enterrer beaucoup. Combien suivent par peur ? Ce que vous devez savoir.

Je suis née bassa d’Eséka région du centre Cameroun, épousée un Bamiléké l’ouest et ce livre qui a réveillé le venin tribal est celui que j’ai écrit pour Mamadou Mota vice-président du MRC, un nordiste. C’est pour vous montrer mon ouverture d’esprit.

En fait ce livre que Mota Mamadou Yacouba et moi pensions être une bonne chose mettra le tribalisme interne à nu car écrit par moi, alors que ceux qui souhaitent tout contrôler pour mieux tromper auraient voulu que ce livre ne soit jamais écrit, au mieux, qu’il le soit, mais par une des leurs, une personne manipulable… Ce que je suis loin, d’être.

Et c’est tout ceci qui me permet également d’être aujourd’hui, le cauchemar répété de leurs nuits et les grains de sable dans leur tapioca. Pour l’instant, dans cette mélasse, je m’arrête là. Mais l’avenir réserve des surprises et des surprises consignées au cas où. Ils savent ce que je détiens. Je plains simplement les pauvres camerounais qu’on leurre en permanence.

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