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Douala : elle éventre son mari et se justifie voici les détails

• Ousmayilou a tué son mari

• Elle accuse son mari de vol

• Un jeune poignardé mortellement au quartier New Town

Que s’est-il réellement passé au sein de couple à Douala ? La police judiciaire a mis la main sur la nommée Ousmayilou, épouse d’un commerçant père de 4 enfants mort éventré. Selon les révélations du lanceur d’alerte Boris Bertolt, la femme de la victime a avoué avoir mis fin à la vie de son mari. Il justifie son acte par le fait que la victime lui aurait soutiré la somme de 2,7 millions de francs CFA.

Cette version ne convainc pas les proches du commerçant plutôt favorable à la piste d’une jalousie maladive. Damme Ousmayilou soupçonnerait le père de ses enfants d’entretenir des relations extraconjugales. Elle aurait déjà demandé à son mari de virer certaines de ses collaboratrices qu’elle juge suspecte.

« Les collègues commerçants de la victime ont livré un témoignage dans lequel l’épouse meurtrière soupçonnait son époux d’infidélité demandant même à ce dernier de renvoyer l’une de ses employés avec laquelle il travaillait », rapporte N’zui Manto.

Les attaques à l’arme blanche se multiplient au Cameroun.


Un jeune poignardé mortellement au quartier New Town

Le quartier New town aéroport a rythmé hier soir au son des coups de feu après l’assassinat d’un jeune par un « taxeur ».

De source bien introduite, des coups de feu après l’assassinat d’un jeune par un « taxeur ».

Le criminel (ici à gauche) qui se livrait au taxage, après avoir dépouillé sa victime de ses objets verra un jeune (ici à droite) intervenir revendiquant que les biens taxés soient restitués à son propriétaire

Une violente bagarre se déclenchera entre les 2 jeunes jusqu’à l’intervention d’un poignard sorti par le taxeur qui le plantera mortellement dans le cou de son adversaire avant de prendre la fuite. Le criminel a pris la fuite après son forfait.

Yaoundé : un enfant meurt empoisonné dans son atelier d’apprentissage ; le patron pointé du doigt

Ça n’en finit pas avec les empoisonnements au Cameroun. Après les multiples cas annoncés tout au long de ce mois, on apprend un nouveau décès, malheureusement d’un enfant.

Selon des informations parvenues à la rédaction de Camerounweb, l’enfant décédé par empoisonnement faisait un apprentissage en chaudronnerie.

« Après plusieurs échecs en classe de 3e, l’enfant faisait un apprentissage en chaudronnerie. Tôt le matin après son arrivée à l’atelier son patron l’enverra acheter du arata chop die. Revenu de la commission, il se rendra dans un beignetaria chercher son petit déjeuner mais son patron, pour la 2e fois l’enverra acheter le même produit, l’arata », indique notre source.

« À son retour il prendra son petit déjeuner qu’il avait laissé quelques minutes plutôt à l’atelier et sera pris par de violentes douleurs au ventre qui entraîneront sa mort », précise-t-on.

Il faut préciser que l’arata est un produit toxique non consommable. Selon des analyses faites, l’enfant, de retour de son achat, ne se serait pas bien lavé les mains avant de consommer ses beignets. Le patron de son côté, a manqué de veiller à la sécurité de l’enfant.

Le patron de l’atelier est désormais pointé du doigt par la famille et une enquête a été ouverte à la brigade de Ngousso.

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