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DERNIÈRE MINUTE : la révolution du palais a commencé, Biya passe la main

La révolution au sommet de l’Etat a déjà commencé avec l’assassinat du journaliste Martinez Zogo et toutes les arrestations faites jusqu’ici.

C’est selon la Camerounaise de la diaspora Dr Carole Modestine Yonzou Tchatchouang qui reprend un texte signé par Parfait Mbvoum qui lui semble très cohérent.

Soyez rassurés ! Tout ira. Je vous signalais il y a quelques jours que l’assassinat de Martinez Zogo n’est pas une affaire de bandits. Mais une affaire au sommet de l’Etat. Une affaire de camps. C’est même le déclic de la libération de notre pays.

Si n’est pas un camp, ce sera l’autre. Il n’y a plus de magie. La solidarité criminelle n’est plus possible à ce stade.

Les va et vient, les aller et retour, les sorties et contre sorties des chefs traditionnels, le mutisme de certains prouvent que le vin est tiré. Il faut simplement le boire.

C’est le moment d’être simplement vigilant. La révolution du palais a commencé avec cette affaire. Tous sont prêts à dégainer. Un patron des renseignements est interpellé depuis 02 semaines. 21 hommes en tenue aussi.

Un homme d’affaire proche du Minjustice, du Minfi, du Minat, du Mincom est en cellule depuis le même temps.

Les noms de deux ministres régulièrement cités. Une affaire, à ce stade ne revient pas à zéro, sans dégâts. Et même son avancée entraîne toujours des dégâts.

Soyez confiants. Soyez rassurés. Un Monsieur de 90 ans ne gère plus ce type de dossier. Ils ont tué bêtement un homme. Ils l’ont fait sans intelligence.

Comme ils le font souvent. Cette fois ci 99 jours pour le voleur, un jour pour le propriétaire.

Si on libère un camp, on doit arrêter l’autre camp. Il n’y a pas de hasard. Il n’y a pas de milieu. La certitude qu’on a aujourd’hui est qu’un a sauvagement tué un journaliste.

La veille des journalistes et des hommes publics sur cette affaire, même de manière psychologique va pousser l’appareil judiciaire à aller jusqu’au bout.

Bravo à Canal et Equinoxe qui dorment au SED. Je les accompagnerais toute cette nuit.

Nous verrons comment on signera « libéré pour faits non établis et qu’au même moment l’autre camp ne sera pas inquiété ».

Dans tous les cas, chers amis, une révolution se vit sous nos yeux. N’attendez pas d’autres signes. Je vous souhaite d’être vivant pour vivre ces moments.

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