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Coup dur : Sam Severin Ango jeté en cellule voici les faits

• Il avait déjà échappé à un enlèvement il y a quelques jours

• Il est finalement jeté en cellule

• La plaignante n’est autre que sa femme

Cela fait déjà trois jours que le journaliste de ABK Radio croupit dans les cellules. Sam Severin Ango, orphelin de mère, est détenu au groupement de gendarmerie de Bonanjo.

La plaignante n’est autre que dame Ngo Ntamack sa femme qui le poursuit pour détention abusive sans titre d’un véhicule. « Une caution de 100 000 Fcfa est actuellement exigée. Ce qu’il n’a pas », a écrit Boris Bertolt qui précise d’ailleurs que ce n’est pas la première fois que ces deux tourtereaux sont en conflit. « L’an dernier, Sam SEVERIN Ango avait d’ailleurs violemment bastionné Ngo Ntamack Genevieve qui avait déposé une plainte à la police judiciaire », rappelle le journaliste politologue.

Sam Séverin Ango échappe à un enlèvement spectaculaire

Alors qu’il se rendait à son boulot à ABK Radio, le journaliste fut arrêté au pied de l’immeuble qui abrite son lieu de travail par un homme qui s’est présenté comme élément Groupement de Gendarmerie de Douala Bonanjo. Ce dernier a brandi un mandat d’amener signé par le procureur de Douala Ndokoti. Ne se reprochant de rien, le journaliste et homme politique a invité son interlocuteur à venir avec lui dans son bureau. Mais l’homme se serait fondu dans la nature.

Pour Sam Séverin Ango, ceci pourrait être l’œuvre de son ex qui multiplie des poursuites judiciaires contre lui. « Je ne comprends pas l’acharnement de la dame, nous sommes en séparation en attente du prononcé du délibéré sur la nullité de l’acte de mariage. Elle a déjà fait beaucoup trop de mal, avec la complicité d’esprits malveillants surplace au Cameroun et normalement si vous dites posséder le monde entier, cela ne vous coûterait rien de trouver un bon mari. À tous ceux qui ont choisi de persécuter d’honnêtes personnes, malheur à eux, parce que chacun paiera pour ses actes ».

De son côté, le média Actucameroun exploite la piste d’un règlement de compte politique. « La première, c’est dans la somme d’ennemis amassés sur le champ politique où certaines officines d’après nos sources auraient juré de le faire taire avant 2023 », indique le média en ligne.

Pour rappel le journaliste a été arrêté en novembre 2021 à son domicile au quartier Deido dans le 1er arrondissement de Douala. Il était accusé d’avoir volé 30 000 euros. La plainte serait déposée par ex NGO NTAMACK.

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