Les récentes frictions entre les rappeuses camerounaises Askia et Tilla Tafari, autour du spectacle de la piscine Zara, exposent une déplorable absence de solidarité au sein de ces artistes féminines.
Askia avait été engagée et rémunérée pour sa prestation au Zara’s pool party, le week-end dernier, tandis que Tilla cherchait à participer gratuitement, soutenant ainsi l’événement, une offre fermement rejetée par Askia. Leur désaccord s’est intensifié lorsque Askia a insisté pour ne pas participer si Tilla était incluse au programme, craignant une confrontation potentiellement préjudiciable à son image et à sa carrière.
Cette querelle publique n’est pas un incident isolé, mais plutôt la manifestation d’un différend de longue date non résolu entre les deux artistes. Les racines de leur discorde demeurent floues, et depuis la rupture de Tilla avec New Bell Records, elle a été ouvertement confrontante avec toute personne associée à Jovi.
Dans un contexte plus large, l’industrie du divertissement anglophone au Cameroun peine à obtenir une reconnaissance internationale. Alors que les artistes anglophones rencontrent des difficultés pour obtenir une reconnaissance mondiale, ils s’engagent paradoxalement dans des querelles locales, entravant ainsi la progression de l’industrie. Les différends publics en cours, non seulement entre rappeuses, mais également entre artistes masculins, sapent les collaborations potentielles et l’unité cruciale pour la croissance.
Avec moins de 10 rappeuses anglophones à succès au Cameroun, il est décourageant que des conflits internes les empêchent de se soutenir mutuellement. Cette absence d’unité ne concerne pas seulement les artistes féminines, mais s’étend également aux artistes masculins qui nourrissent des animosités personnelles, entravant ainsi les efforts de collaboration.
Contrairement à leurs homologues internationales qui privilégient le professionnalisme aux différences personnelles, les artistes camerounais semblent empêtrés dans des querelles futiles, entravant l’avancement de l’industrie. La récente altercation sur les réseaux sociaux entre Askia et Tilla illustre cette désunion, rendant difficile pour les artistes de susciter un soutien authentique de la part des fans.
Alors que Tilla fait face à des défis dans sa carrière et sa vie personnelle, et qu’Askia, bien que reconnue dans l’industrie, est encore en chemin, la comparaison avec les rappeuses internationales souligne l’écart significatif à combler.
Les critiques ont condamné Askia, la qualifiant d’égoïste et centrée sur elle-même, suggérant que sa tendance à se présenter en victime ne fait qu’exacerber les conflits. La question se pose : de tels différends publics sont-ils nécessaires pour une industrie en quête de croissance, comme c’est le cas au Cameroun ?
Le manque persistant de collaboration et d’unité entre les artistes camerounais, malgré la taille modeste de leur industrie, suscite des interrogations quant à leur compréhension du monde du spectacle par rapport à leurs sentiments personnels. Annuler un spectacle pour des désaccords personnels remet en question le professionnalisme des artistes et entrave le progrès collectif de l’industrie.
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