Ces propos d’Amélie Oudéa-Castéra qui ont provoqué un malaise

Le changement, c’est maintenant. Vingt mois après sa réélection à la présidence de la France, Emmanuel Macron a désigné Gabriel Attal pour succéder à Élisabeth Borne à Matignon. À 34 ans, Gabriel Attal devient le plus jeune Premier ministre de l’histoire de la France, succédant à Laurent Fabius, qui avait été nommé à ce poste à l’âge de 37 ans en 1984.

Emmanuel Macron a exprimé sa confiance envers Gabriel Attal, saluant son énergie et son engagement pour mettre en œuvre le projet de réarmement et de régénération annoncé. Cette nomination était intervenue avant celle des nouveaux ministres composant le gouvernement, suite au récent remaniement.

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Amélie Oudéa-Castéra, nouvelle ministre de l’Éducation

Le gouvernement de Gabriel Attal a été dévoilé le jeudi 11 janvier par l’Élysée. Parmi les membres du gouvernement, certains conservent leur poste, notamment Gérald Darmanin, Bruno Le Maire et Éric Dupond-Moretti.

À l’Éducation nationale et aux Sports, on retrouve par ailleurs Amélie Oudéa-Castéra. Une Ministre déjà critiquée pour ses choix personnels. En effet, lors d’une visite officielle dans les Yvelines, et plus précisément à Andrésy, les caméras de BFMTV ont suivi la ministre ainsi que le Premier ministre Gabriel Attal.

Amélie Oudéa-Castéra, ministre de l’Éducation : ces propos qui ne passent pas

Interrogée sur la scolarisation de ses enfants au lycée privé catholique Stanislas, la ministre a expliqué avoir transféré ses enfants du public au privé en raison de frustrations liées au remplacement insuffisant des enseignants absents.

Elle a précisé que le choix du lycée Stanislas était également motivé par la proximité géographique et a souligné l’importance pour elle que ses enfants soient bien formés, épanouis, entourés d’amis et se sentent en sécurité. Amélie Oudéa-Castéra a défendu le droit des parents à faire des choix éducatifs en rappelant que l’école appartient à la République et travaille avec tous ceux qui respectent ses exigences et valeurs.

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Elle a alors confié : « Mon fils aîné, Vincent, a commencé à l’école publique à Littré (ndlr : VIe arrondissement de Paris) » », a-t-elle débuté avant de se plaindre des « paquets d’heures qui n’étaient pas sérieusement remplacées ». Elle a ainsi fait le choix de scolariser son fils dans le privé, au sein du collège-lycée Stanislas, situé à proximité de son domicile.

Les internautes ont été nombreux à critiquer la ministre pour ses propos sur l’école publique. Sur X, anciennement Twitter, on peut notamment lire : « Première sortie première gaffe. Elle est tarte celle-là », ou alors « Pardon mais par qui ?!? De qui elle parle parce que c’est son gouvernement hein ». Aïe…