Nombreux sont les Français à consommer des oranges à cette période de l’année. Cependant, comme de nombreux fruits et légumes, celles-ci contiennent souvent des pesticides quand elles proviennent de l’agriculture conventionnelle. Ces résidus phytosanitaires dépassent parfois largement les limites fixées par la loi. C’est le cas notamment d’oranges maltaises qui viennent de faire l’objet d’un rappel par les autorités sanitaires. On fait le point.
L’orange est l’un des fruits les plus consommés dans le monde et la France ne fait pas exception à la règle. Consommées fraîches ou en jus, on recherche avant tout la précieuse vitamine C qu’elle contient et qui agit comme un véritable boost sur la santé durant les mois d’hiver.
Cette forte demande française est assurée en majeure partie par des pays au sud de la Méditerranée. Une production lointaine qui ne respecte pas toujours la législation sur l’utilisation des pesticides. Cette fois, ce sont des oranges maltaises en provenance de Tunisie qui ont été repérées pour « une présence de pesticides au-delà du seuil réglementaire ».
Le site gouvernemental Rappel-conso.gouv.fr a alerté les consommateurs ce 23 février 2024. Ces oranges sans marque étaient vendues depuis le 6 février 2024. Elles étaient conditionnées par sachet de 1,5 kg dans les grandes surfaces de l’enseigne Leclerc, sous le numéro de lot 18166 et le code-barres 3770000906028.
Voici les 19 départements concernés par ce rappel : l’Aisne, les Ardennes, l’Aube, la Marne, la Haute-Marne, la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, la Moselle, l’Oise, Paris, la Seine-et-Marne, les Yvelines, l’Essonne, les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne et le Val-d’Oise. Une campagne de remboursement a été organisée par l’entreprise jusqu’au 29 février 2024.
Il est évidemment conseillé de ne plus consommer ces produits. Le traitement chimique qu’elles ont subi peut provoquer de nombreux problèmes de santé. Cette découverte rappelle l’étude récente publiée par l’ONG Générations futures qui avait effectué des tests pour repérer les résidus de pesticides sur divers fruits et légumes vendus.
https://twitter.com/RappelConso/status/1760972372289421539?ref_src=twsrc%5Etfw
Cette enquête menée durant quatre ans a révélé que deux tiers des fruits et presque la moitié des légumes vendus en grande surface présentaient au moins la trace d’un pesticide. L’orange est loin d’arriver parmi les plus contaminés. Son cousin le pamplemousse est quant à lui bien plus exposé aux pesticides. C’est également le cas des cerises, des raisins ou des pêches qui contiennent des résidus de produits phytosanitaires dans 9 cas sur 10.
Alors, face à ces alertes de plus en plus nombreuses et fréquentes, nous vous encourageons à vous tourner vers la filière bio si vous souhaitez préserver votre santé sur le long terme. Même si cela représente un coût non négligeable par rapport à la production de l’agriculture conventionnelle, notre bien-être a-t-il réellement un prix ?
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