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Cameroun : Jeune Afrique liste enfin les problèmes de Martin Camus Mimb voici les détails

• Martin Camus Mimb continue de sombrer dans l’enfer

• Jeune Afrique a révélé que l’incident impliquait un mouvement féministe

• L’affaire CamusMimb est également en cour

Le chroniqueur franco-burkinabè Damien Glez de Jeune Afrique a comparé Martin Camus Mimb à Harvey Weinstein. Le reporter s’est montré impitoyable envers son collègue camerounais. Martin Mimb, qui a été mêlé à des scandales sexuels, fera partie du « royaume des patrons du Landenau politique et des patrons aux bras longs de la chefferie traditionnelle ».

Selon Jeune Afrique, les excuses publiques de Martin Camus Mimb n’ont pas mis fin à l’affaire. Non seulement il a été traduit en justice, mais un mouvement de contestation féministe se prépare.

« En plus des cas ciblés par les organisations féministes, ces organisations ont lancé des appels à d’autres témoins. Le ‘Mim Earthquake’ a provoqué un tsunami de témoignages aux États-Unis. Ces témoignages n’impliquent pas seulement des journalistes sportifs, mais sont également apparus comme des discours de libération. », révèle Jeune Afrique.

Le journal a également souligné que le scandale ****** a gravement affecté les activités professionnelles de Martin Camus Mimb. La propagande du livre du reporter « Débout » a été durement touchée. L’éditeur suspend la coopération avec les journalistes.

« Sur le plan personnel, ce journaliste camerounais autrefois acclamé a été victime de la peste. Ses éditeurs, libraires, ses partenaires commerciaux, et la plupart de ses collègues l’ont laissé partir », a confirmé Jeune Afrique.
L’affaire Malicka n’est pas le seul scandale ****** dans lequel Martin Camus Mimb serait impliqué. Elle a juste demandé à d’autres victimes du journaliste de s’exprimer pour apporter leur témoignage.

« Un tabou a été brisé, et c’est l’hypocrisie de traiter les femmes. Le témoignage condamne l’esclavage ****** des experts d’Internet, semblable à un groupe de « société secrète », dont les membres comprennent des politiciens, des athlètes, des journalistes et des hommes d’affaires, en particulier dans un groupe appelé « We In the WhatsApp group » Just kidding », a révélé Jeune Afrique

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