Breaking news : tentative de cambriolage au ministère des Finances voici les détails

C’est la fin d’année et les bandits sont de retour. Récemment, ce sont les microbes qui ont fait traîner leur spleen dans plusieurs localités de la capitale économique Douala.

Beaucoup de dégâts ont été observés comme des personnes décédées et surtout de graves blessures subies par les populations qui sont prises au dépourvu.

Dans le camp des microbes (jeunes bandits qui sont contents de semer la terreur), il y a eu des éléments qui ont aussi été maîtrisés et roués de coup.

C’est l’exemple du criminel qui a exécuté de sang-froid le bensikineur (conducteur de taxi-moto). Il a été arrêté ensuite et torturé à mort.

Les collègues du conducteur tué ont roulé sur le microbe qu’ils ont ligoté et jeté au sort. Chacun d’entre eux avec leur moto, ont procuré du mal à celui qui venait de leur arracher leur ami de tous les jours.

Aujourd’hui, c’est la nouvelle d’une tentative de cambriolage qui est parvenue à la rédaction de CamerounWeb.

Selon la source consultée qui n’est autre que le directeur adjoint de Vision 4 Bruno Bidjang, les faits se sont produits dans la nuit du mercredi le 21 au jeudi le 22 décembre 2022.

Le présumé voleur serait en service dans les services du courrier d’une unité de renseignement du Cameroun. La moto utilisée par ce dernier a été identifiée comme appartenant à l’unité en question.

Il était équipé d’un matériel de pointe et a tenté de cambriolé le ministère des Finances (Minfi) qui se trouve dans la capitale politique Yaoundé.

« Au moment où il a déployé son artillerie lourde pour mettre à exécution son coup, il a été stoppé net par les agents de sécurité du ministère des Finances. Ses clés passepartout ont été réquisitionnées ainsi que sa pièce d’identité », narre Bruno Bidjang. Une enquête a été immédiatement ouverte.

En l’état actuel des choses, tout est rentré dans l’ordre et le ministre Louis-Paul Motaze va rapidement situer les responsabilités et prendre des précautions pour que de telles situations ne se produisent plus à l’avenir.