‘Bouffe ta tontine’ : retour violent de Bruno Bidjang après la mort de Martinez Zogo

Bruno Bidjang est de retour en force sur les réseaux sociaux. Le journaliste s’était abstenu de faire des publications sur sa page Facebook depuis l’annonce du décès de Martinez Zogo. Les nombreux appels de ses abonnés à rendre hommage au journaliste par confraternité ont été vains.

Etrangement pour sa première sortie, le directeur adjoint de Vision 4 se contente d’exprimer son soutien à son employeur Amougou, suspecté par plusieurs Camerounais d’avoir commandité l’assassinat spectaculaire de l’animateur de l’émission « Embouteillages ».

« Nous sommes Vision4 et nous restons vision4. Je suis honoré et privilégié de travailler pour le meilleur patron des médias au Cameroun ,sm Jean Pierre Amougou Belinga », a-t-il publié.

Les internautes qui attendaient de puis un moment la sortie de Bidjang se sont précipités sous sa publication pour lui demander d’honorer la mémoire de son confrères.

D’autres vont plus lien en établissant des liens suspects entre lui et son patron. « Est-ce que tu as le choix ? Tu lui dois ta vie dans tous les sens du terme !! Il n’est pas seule-ment ton patron ! Il est également ton mari. Heureusement que Dieu a enlevé Alice entre tes mains », commente une femme qui semble bien connaître Bruno Bidjang.

Bruno Bidjang a également saisi l’occasion pour faire un commentaire sur l’universitaire Frido-lin Nke qui tenterait désespérément d’établir le contact entre Amougou Belinga et la famille de Martinez Zogo.

« Fridolin NKE tu vas un peu ressentir ce que ça fait quand on raconte des mensonges sur toi en t’accusant pour quelque chose que tu n’as jamais fait. Parce que quand ça concerne les autres, vous vous transformez en Procueur, Seigneur Dieu pour juger les vivants et les morts. Vous vous fiez aux versions bidons racontées par des gens psychologiquement instables sur les réseaux sociaux. Bouffe ta tontine au calme et que le seigneur te donne le mental de supporter les injures, les con-damnations et toutes les ignominies », écrit-t-il.