Avant d’être officialisé, Vladimir Petkovic joue déjà un mauvais tour à la FAF !

Au beau milieu des discussions visant à concrétiser la nomination de Vladimir Petkovic comme le prochain sélectionneur de l’équipe nationale algérienne de football, une exigence surprise de la part du coach suisse a émergé. Cette nouvelle demande pourrait significativement modifier le cours des négociations entre Petkovic et la Fédération Algérienne de Football (FAF).

Walid Sadi, émissaire de la FAF, a voyagé en Suisse pour finaliser un contrat avec Vladimir Petkovic. Toutefois, les pourparlers ont pris une direction imprévue quand Petkovic a stipulé qu’en acceptant le poste en Algérie, il souhaitait être rejoint par son staff complet. Cette requête paraît être une réaction à l’intention de la FAF d’intégrer un entraîneur adjoint algérien dans l’équipe technique de Petkovic.

Cette demande supplémentaire risque de rendre les discussions plus complexes, étant donné qu’elle pose un obstacle pour la FAF, désireuse d’incorporer des membres locaux au sein de l’encadrement technique de l’équipe nationale. Initialement, un accord avait été trouvé avec Petkovic pour un salaire de 100 000 dollars, mais l’entraîneur a révisé ses prétentions à 180 000 dollars, un montant face auquel la FAF affiche des réticences.

Consciente des leçons tirées de ses précédentes expériences, notamment avec l’ancien sélectionneur Djamel Belmadi en matière de rémunération, la FAF est résolue à ne pas reproduire les mêmes erreurs. La réponse de la FAF aux exigences récentes de Petkovic reste incertaine. L’absence d’un accord mutuel pourrait menacer l’intégration de l’entraîneur suisse à la direction technique de l’équipe nationale algérienne, ouvrant ainsi un nouveau volet dans cette longue série de négociations.