Amour ou argent : Voici comment Melissa Belinga surprend son mari milliardaire

• Le couple Belinga est plein aux astres

• Jean-Pierre et Melissa ne manquent de rien

• C’est une chose qui réjouit les deux amoureux

Jean-Pierre Amougou Belinga est un richissime homme d’affaires camerounais, propriétaire du groupe de presse l’Anecdote. Il possède les chaînes de Télévision Vision 4 et Télésud. Melissa Belinga est sa femme, une Camerounaise qu’il aime beaucoup et pour laquelle il est prêt à tout faire.

Melissa Etoundi Nsoe, de son vrai nom, est une journaliste camerounaise présentatrice qui partage maintenant son intimité avec Jean-Pierre Amougou Belinga.

Sur le réseau social Snapchat, Melissa Amougou a écrit un message qui fait réagir les internautes : « Une femme qui n’aime pas l’argent rend son mari paresseux ». Après tout, c’est la femme d’un des plus grands milliardaires du Cameroun qui s’exprime.

« Imaginez la joie des bordels en ce moment », lui a lancé net un jeune homme qui n’est pas enclin à gober la théorie de Melissa Amougou.

D’autres sont prêts à s’aligner derrière la vérité : « Les gens vont la critiquer et pourtant elle dit la pure vérité. Bien dit ma mère, j’aime l’argent et je ne fais pas semblant pour être bonne à l’œil de tous ».

Melissa Etoundi Nsoe vit un rêve aux côtés de Jean-Pierre Amougou Belinga. En début du mois de septembre 2022 ou le couple fêtait sa première année de vie de couple, elle l’a exprimé ouvertement : « Cela fait un an jour pour jour que tu m’as choisie et qu’ensemble nous avions honoré nos familles respectives, nos ancêtres et nos traditions à travers notre mariage coutumier. Une dot qui a fait jaser ».

Melissa Belinga renouvelle son amour pour son mari : « Mon Amour, je ne puis que te dédier cette belle prière que m’inspire ce chef-d’œuvre de Sandrine Nnanga, TonFeu : « A Zambe oooh je t’en prie, bénis mon mari. Que sa journée se passe bien, que ta grâce l’accompagne. Toi-même tu sais que c’est lui qui dirige cette famille, alors donne-moi la force de le soutenir. Parce que son corps c’est mon corps ».