à la uneCamerounCulture

Accouchement de Coco Emilia: Marlène Emvoutou et sa méchanceté à l’égard de Nathalie Koah voici les détails

L’accouchement de Coco Emilia au Maroc a relancé le débat sur les attaques de Marlène Emvoutou sur la personne l’ex petite amie de Samuel Eto’o. L’activiste Zona Coker trouve curieux, le silence de l’influenceuse camerounaise qui est connue pour ses sorties à charge contre Nathalie Koah.

Le jour qu’il tombe au front, Charles NDONGO le vieux de Christian NYA et de Coco MOUANI Choisit de publier l’accouchement d’une influenceuse camerounaise mariée à un Congolais qui a accouché au Maroc. MVENG croyais à tort qu’il risquait sa vie pour la nation alors qu’il n’était qu’un mouton sacrifié pour la vie de luxe de certains.

Où sont donc nos intellectuels, la suprématiste EMVOUTOU, le professeur OWONA MFEGUE et l’écrivaine BEYALA quand tu as besoin d’elles ? Elles ne peuvent rien dire parce qu’elles sont les habituées de la chaîne nationale CRTV, parce que Charles NDONGO est de la minorité privilégiée, parce que l’influenceuse en question fait partie du cercle des amis de la première dame Chantal BIYA et pour beaucoup d’autres raisons liées à la mangeoire. Nous avons découvert la proximité de l’influenceuse à la première dame quand elle a reçu le CHIVAS de 5 millions et demi de francs CFA et beaucoup d’autres cadeaux pour son mariage avec monsieur son milliardaire congolais.

S’il s’agissait de Nathalie KOAH, les passions allaient se déchaîner de la part de ces femmes dites intellectuels qui considèrent que seuls les diplômés doivent réussir au Cameroun et donner des leçons et des places aux autres. Elles sont pourtant toutes des vendeuses de rêves comme les influenceuses qu’elles critiquent en permanence. La preuve, EMVOUTOU qui est aujourd’hui au Cameroun depuis des mois est moquée par les internautes pour ses photos qui ne ressemblent pas aux images filtrées qu’elle publiait souvent sur les réseaux sociaux quand elle était à MBENG. Elle vendait le rêve d’être une épouse de blanc avec les vêtements les sacs à main et les chaussures de luxe, oubliant que ce n’est pas la griffe qui fait l’homme, mais plutôt le contraire. Il ne suffit pas de porter un vêtement, un sac ou une chaussure Gucci, il faut savoir le porter et avoir un corps qui va avec.

Les diplômes sont importants dans la vie, mais ils ne sont pas tout. Pendant que les diplômés pillaient la nation, ce sont les agriculteurs, les Bayam-Sellam, les Benskineur, les Fayman et les prostitués qui faisaient tourner l’économie camerounaise au Cameroun. Nous savons tous qu’il faut la plupart du temps plus que des diplômes pour être milliardaire, pour construire une maison ou pour occuper un poste de directeur ou de ministre. Toutes ces femmes qui ventent le mérite des diplômes ne font pas l’exception. Avoir un père qui t’ouvre les portes, être la petite ami d’un DCC, la fille du directeur de la CRTV, et prétendre que seul le parcours académique fait de toi une femmes riche dans notre société n’est pas totalement vrai . Ce sont en partie les hommes dans leurs vies qui les aident. La preuve, pour ne pas perdre leurs avantages, elles ne parlent pas de Charles NDONGO ou de Chantal BIYA qui font L’ATALAKU des influenceuses des réseaux sociaux. Tu ne les verras pas non plus parler des soldats qui meurent au NO-SO. En passant, Chantal BIYA la Jet-settteuse milliardaire épouse de Biya Bi Mvondo devant qui ces intellectuels baissent la tête à quel parcours académique ?

La jeunesse camerounaise s’identifie plus à Nathalie KOAH de famille pauvre que nous avons tous vu tomber et se relever seule contre tous. Malgré tout l’acharnement des camerounais saints et plus méritants, elle a su s’élever au point de donner le goitre aux intellectuels qui se lâchent face aux micros et devant leurs claviers. Malgré les coups, Nathalie KOAH n’a pas fui l’injustice et l’acharnement dont elle était victime, elle n’a pas abandonné son pays pour aller se chercher ailleurs. Comme un enfant à sa mère et une véritable patriote, elle s’est blottie dans les bras de son beau pays après une fessée et celui-ci le lui rend bien. Elle emploie aujourd’hui plus de personnes que les intellectuels qui perdent le sommeil à cause d’elle. C’est surtout au pied du mur qu’on juge le maçon.

Quand on est une intellectuel épanouie qui a une vie de rêve, on a son propre couloirs, on ne s’occupe pas de ce que font les influenceuses que vous considérez ne pas être à votre niveau. Vous le faites parce que vous êtes aussi des vendeuses de rêves donc en compétition avec elles. Le seul moyen de montrer qu’on a réussi sa vie au Cameroun c’est d’afficher le luxe des voyages en première classe, des chambres d’hôtel dans les grands palaces, des marques de vêtements des grands couturiers occidentaux, des restaurants étoilés et des champagnes. Tout cela ne vous différencie pas des influenceuses. À ce jeu-là elles ont de l’avance sur vous parce qu’elles ont la beauté physique et la jeunesse de leur côté. Quel parcours académique peut-on d’ailleurs vendre à la jeunesse dans un pays où un licencié devient moto-taximan et qu’une femme de la nuit devient la première dame aux pieds de qui les intellectuels se rabaissent. Le Cameroun a des problèmes auxquels les intellectuels ne parlent pas pour ne pas être mis de côté. Un pays de lâches qui ne s’acharnent que sur les pauvres et les plus faibles.

Tant que le Chivas et le champagne couleront à flot pour quelques-uns les autres peuvent tous crever. Ils ne sont là que pour accompagner les plus méritants. Le sang de Francis MVENG et de ses camarades se verse donc en AMBAZONIE pour que la vie luxueuse des champagnes et des suites d’hôtel de certains soit maintenue. Le petit est donc mort NJOOOH. Tant que le peuple camerounais ne se lèvera pas pour mettre fin à ce cancer et se faire respecter, rien ne changera. ABIM TÉ !

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

RSS
Follow by Email
YouTube
Pinterest
LinkedIn
Share
WhatsApp